Alain Dubesset

L’Envol des heures

Dans sa première partie, l’envol des heures traite de la fuite en avant que l’être humain n’arrive pas à maîtriser à l’approche inexorable du dernier départ. C’est sans nul doute la volonté de se soustraire à cette angoisse au moyen du délire organisé.

La seconde partie du recueil, petits tableaux, est une suite de poèmes où fleurissent des textes voulant fixer des instants comme ceux que le peintre crée sur ses toiles.

Le cadre général du recueil reste l’île de Ré du nord, celle des marais et des paysages arides et sauvages.

Du même auteur

– Un choix de poèmes, dits par l’auteur a été gravé sur disque 45 tours

Editions Citta-Discop, Neuilly.  (1962).

Sont parus les recueils suivants :

– Les Eaux de nacre, poèmes, chez R.M. (Raphael Maillot – Paris 1963)

Aux Éditions de la Revue Moderne, Paris, 1965

– Nous qui sommes nés pour la mort, lui donnerons des lieux d’amour, poèmes (Paris 1965)

Aux Éditions Edilivre,

– La nuit qui voudrait être écarlate, poésie (2015)

– Mais où sont incrustés tous ces songes sauvages, suivi de L’instant, poésie (2017)

– Vingt-sept poèmes d’amour, suivi de Partage
d’un Regard, poésie (2019)

-Intimité des saisons rhétaises, poésie (2020)

Aux Éditions Paulo-Ramand,

– Oublier l’hiver, poésie (2021)

– Élargir la porte, poésie nouvelle (2022)

Né fin juillet 1941, Alain Dubesset écrit depuis 1955. Un de ses premiers poèmes recevra en 1958 le Prix de la Ville de Bordeaux. De 1960 à 1966 il anime au sein du Syndicat des Journalistes et Ecrivains (Paris) la Commission Jeunesse qui promeut par des manifestations bimensuelles de jeunes talents littéraires, peintres ou musicaux. Deux de ses recueils de vers sont édités pendant cette période.

A partir de 2015 sont publiés huit recueils de poésie. Ces trois dernières années, il assure la présidence de l’Association Culturelle gérant la Bibliothèque de Loix, son village.