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Kalindi Ramphul

Kalindi Ramphul

Greta et Marguerite (Lattès)

Quand Greta rencontre Romuald, c’est le coup de foudre. Ils n’ont rien en commun si ce n’est leur peur de l’avion, alors même que Greta est hôtesse de l’air, ayant hérité de ses parents brésiliens la bougeotte et un bilan carbone qui dépasse celui de Taylor Swift. Mais les turbulences d’un vol Bombay-Paris et le tempérament de feu de la jeune Greta vont jeter le quadra dans ses bras, quittant du jour au lendemain sa vie rangée auprès de son épouse Marguerite et de leur fille Sally.
Les deux tourtereaux ont hélas à peine le temps de vivre leur passion, que lui tombe raide mort. Une découverte sidérante va alors réunir les deux femmes de sa vie : Romuald était sur le point de s’envoler pour la Finlande. Pire. Il s’y rendait chaque année, à la même période, en secret. Greta et Marguerite embarquent aussitôt Sally dans une odyssée folle au cœur de la forêt finlandaise, près du lac d’Espoo, pour percer le secret de Romuald et recommencer à vivre.

Mêlant profondeur et légèreté, humour et poésie, Kalindi Ramphul explore ici les différentes manières d’aimer, ceux que l’on découvre et ceux que l’on pensait connaître, et les familles que l’on choisit.

Les Jours mauves (Lattès)

Avant de mourir, le père d’Indira lui a confié sa dernière volonté : que ses cendres soient répandues sur Mars… Une vocation secrète d’astronaute ? Pas du tout, juste le nom de son PMU favori au sommet des Pyrénées ! Indira prend alors une décision qu’elle regrette aussitôt : organiser un road trip en autocar avec les amis de son père. Direction Superbagnères, Haute-Garonne.
De pannes en esclandres, avec force champagne en thermos, le voyage prend des allures d’odyssée tandis qu’Indira apprend à connaître ses compagnons de galère. Et à travers eux, ce père qu’elle avait renoncé à aimer…

Humour ravageur, poésie folle, sensibilité à fleur de peau, un premier roman solaire.


« Kalindi Ramphul a les mots doux, parfois durs, à l’égard des gens qu’elle aime dans ce livre. On y est un peu brute, parfois un peu bête, mais on y est absolument touchants. Et c’est ce qui rend ce premier roman sincère, drôle et poignant. » Le Figaro Littéraire

« Il faut lire ce roman, qui marque la naissance d’une voix drôle, toute juste, et érotique. Non pas de cet érotisme tapageur et bon marché mais de celui qui puise dans la vie comme dans un corps. L’érotisme dévorant de la vie qui en nous se bat. » Bastille Magazine 

« Un roman très joyeux, dépaysant, hilarant ! » Les Grosses Têtes, RTL

« Avec un sens inouï de la formule et des personnages tous plus foutraques les uns que les autres, la jeune scénariste et podcasteuse Kalindi Ramphul nous fait rire aux éclats dans ce premier roman très réussi. » S le magazine de Sophie Davant

« A la drôlerie, se mêle une douce mélancolie que sert une plume tour à tour poétique et audacieuse. Ces jours mauves sont dorés à l’or fin !  »  Femme Actuelle

« Entre la désillusion amoureuse, l’homosexualité, mais aussi le destin des enfants uniques, Kalindi Ramphul manie avec tendresse et humour des thématiques contemporaines. » Le Parisien 

« Avec un sens inouï de la formule et des personnages plus improbables les uns que les autres, la jeune scénariste et podcasteuse signe un premier roman irrésistiblement dépaysant et hilarant. On rit aux éclats ! » Télé 7 jours

«  Une comédie réjouissante  !  » Nouvelles têtes, France Inter«  Un humour décapant porté par une poésie merveilleuse, ainsi pourrait-on décrire Les Jours mauves, le premier roman de Kalindi Ramphul.  » Lire

«  «  Les jours mauves  », c’est le bijou de mai que j’ai dévoré en quelques heures sans jamais lâcher l’aventure d’Indira et ses compères qui partent en bus rendre hommage au père de cette dernière et disperser ses cendres.  » Elle.fr

«  Un petit bijou de poésie et de délicatesse, trempé dans un humour corrosif.
C’est parti pour une odyssée en car à travers la France, avec des personnages baroques, des alliances qui se nouent, du champagne dans des gourdes, du sexe et des surprises à chaque tournant. Le ton, aussi décalé que tendre, évoque « Little Miss Sunshine ».
Un premier roman qui mêle tant de profondeur à tant de fraîcheur, c’est rare.  » L’Ain 


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