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Marie-Claude Aristégui

Marie-Claude Aristégui

Scénario noir en Gironde (Sud Ouest Noir)

Scénario noir en Gironde est une nouvelle enquête du Commandant Baron.
Le commandant vient d’être muté à Bordeaux lorsqu’il est appelé pour résoudre un nouveau meurtre, celui de Guillaume Valmont, quinquagénaire tué au couteau sur une plage du Cap Ferret.
Pour élucider cette affaire, le commandant Baron et son adjoint Baptiste s’intéresseront à l’entourage familial de la victime, mais également à son travail de producteur de films. En effet, Valmont venait de créer une start-up dont le concept laisse les enquêteurs perplexes : la location de comédiens pour jouer le rôle d’« amis » auprès de personnes esseulées.
Marie-Claude Aristégui nous signe ici un polar plein de mystères, entre Bordeaux et le Cap Ferret.

Le Prix du passé sur l’île de Ré (Sud Ouest Noir)

Lorsque Félix décroche son téléphone et qu’on lui propose de travailler dans une agence immobilière en plein cœur de l’île de Ré, il tombe des nues. Il n’a plus l’habitude qu’on le traite avec égard. Il faut dire que Félix sort tout juste de prison. Il tente alors de démarrer la nouvelle vie qu’on lui offre, mais lorsqu’un crime est commis dans son entourage, le passé refait surface, dans toute sa noirceur.
Car comme il le dit lui-même, Félix n’a pas été incarcéré pour des vétilles… Même s’il ne s’étend jamais sur le motif de sa condamnation, une simple recherche permet de retrouver la terrible affaire dans laquelle il a été impliqué.
Lorsque Jules Baron enquête sur le meurtre survenu à Saint-Martin de Ré, il auditionne ce jeune garçon intelligent, taciturne, étrange, qui ne fait rien pour se disculper. Félix cherche-t-il à semer le doute dans l’esprit de l’enquêteur, ou bien à soulager sa conscience ? Une chose est certaine : le passé reste un lourd tribut à payer.

La Rochelle, belle et mortelle (Sud Ouest Noir)

« Ce soir, je détestais La Rochelle et ses tours, que je trouvais menaçantes et non plus protectrices. Les flaques visqueuses et sombres du port m’écœuraient. Javais limpression que jallais dégringoler dans cette boue, que je menliserais et que la marée montante mengloutirait.

Ma vie basculait. Camille n’était pas celle que je croyais. Je ne savais plus qui était Camille. Je ne lavais jamais su. Je ne men étais pas soucié. Cela faisait deux ans que je partageais son quotidien et je ne savais rien delle.  Javais peur. Je navais plus dhumour. Je navais plus despoir. Je ne comprenais plus rien. J’étais défait. Je déclarais forfait.

À quelques jours de Noël, Camille disparaît. Où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? Était-elle vraiment la jeune femme banale que l’on connaissait ? Frédéric, son compagnon, mène l’enquête, épaulé par le commandant de police Colin Tanguy. Ce roman entraîne le lecteur sur la piste de terribles mensonges et d’un acte odieux.

Meurtre en Béarn/Une gare en héritage (Geste noir)

« En basculant, labat-jour s’était détaché et lampoule brisée. Seule la lumière de la cuisine attenante éclairait la salle de séjour où gisait un homme, étendu sur le dos, la tête ensanglantée. Affolé, un petit chien tournicotait dans la pièce, il se cognait aux murs, aux meubles et revenait près du corps. Il reniflait tour à tour le tapis et le cadavre dont la tête était à hauteur de son museau. Puis le caniche reculait et recommençait à courir dans la pièce en aboyant de plus en plus fort ».

Qui a tué Malo Bergalet ? Le commandant Courrèges et son adjointe devront éplucher son passé et celui de ses anciens copains. Ils ont en commun une manifestation hostile à la construction du tunnel routier du Somport en vallée d’Aspe. Et un intérêt particulier pour la gare de Canfranc en Espagne, le « Titanic des Pyrénées », en cours de rénovation, hante la mémoire de ces hommes depuis trois générations.

Je peux tuer qui je veux (Moissons Noires)

« – Je soigne des gens, cest un métier formidable, parfois exaspérant aussi. Quand j’écris, cest linverse, je peux tuer qui je veux. Croyez-moi, cest bien agréable. Ils membêtent ? Paf, je les tue.

Devant la mine effarée de lauditoire, il esquissa un sourire et assura quil plaisantait. Personne ne rit ».

Cette boutade d’un goût douteux va bouleverser la vie de son auteur, Nicolas Villandry, médecin et auteur de romans policiers.

Quand au lendemain de sa causerie dans un village, un homme est poignardé devant son hôtel, il va se retrouver malgré lui au cœur de l’enquête. D’autant qu’un corbeau lance les gendarmes sur la piste d’un passé enfoui, que le polar de Villandry vient justement de ressusciter…

Et la télé en fera le coupable idéal.

Marie-Claude Aristégui était grand reporter au quotidien régional Sud Ouest, elle a été en poste dans plusieurs villes dont Pau, Bordeaux et La Rochelle. 
Elle a écrit plusieurs romans policiers dont « La Rochelle belle et mortelle », « Meurtre en Béarn/Une gare en héritage », « Je peux tuer qui je veux ». 



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